Dans le temps de mes grands-parents et même de mes parents, les gens se mettaient en couple avec quelqu’un qui faisait l’affaire, se faisaient des bébés dans le noir, adoptaient la position du missionnaire bien sur, travaillaient du lundi au samedi, allaient prier le dimanche et vivaient ensemble jusqu’à la fin pour le meilleur et pour le pire…mais le bonheur était-il présent ? Le bonheur en couple était peut être tout simplement le fait d’apprécier l’autre telle qu’il est et de former une équipe jusqu’à la fin.
Aujourd’hui, on a le choix, passant du partenaire idéal, de la position Kama sutra la plus excitante, du signe astrologique de notre futur bébé, allant au choix de rester célibataire jusqu’à la fin de nos jours…mais le bonheur est-il présent ?
La poursuite du bonheur a-t-il vu le jour en même temps que les choix ? Vous vous dites, elle a d’l’air conventionnel cette jeune fille. Ceux et celles qui me connaissent vous diront : mais pas du tout. Je suis l’exemple de la femme émancipée de son époque, j’aime avoir le choix de qui je veux dans ma vie, de mes amitiés, de mes relations amoureuses et sexuelles, de la profession que je veux exercer et je suis heureuse de pouvoir choisir le moment que je serai prête à avoir des enfants…mais tous ces choix, ne nous rendent pas un peu plus confus et ne nous éloignent pas un peu plus de ce qu’on veut presque tous….L’amour sincère et durable avec une seule et unique personne ? Ça ne veut pas dire qu’il faut accepter de rester en relation avec un looser mesdames ( faites-vous confiance, si c’est un looser qui partage vos soirées, vous allez le ressentir), on d’endurer une hystérique messieurs, mais posez-vous la question, avons-nous changé notre poursuite du bonheur pour la poursuite d’un être parfait, qui n’existe pas et n’existera jamais ?
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1 commentaire:
Ah oui...les relations modernes ma chère Dominique sont d'une complexité déconcertantes...je suis d'accord avec toi sur un point : avoir trop de choix signifie surtout avoir peu de choix finalement ! Car vois-tu, nous sommes aujourd'hui des gens de plus en plus exigeant ! Nous désirons la perfection au lieu de nous émerveiller parfois d'un petit geste posé parfois par erreur. Mais d'une erreur tellement spontanée qu'elle fait sourire. Voilà peut-être la clé du bonheur, avec ou sans hommes : profiter des ces clins d'oeil de la vie lorsqu'ils passent.
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